Si le CBD est aussi bon pour l’humain,. Alors, il n’y aucune raison de le garder pour nous et ne pas en faire profiter nos chers animaux de compagnie. En effet, complètement naturel, le cannabidiol ou CBD s’adapte aussi bien pour les chiens, les chats, lapins ou encore le cheval.
Le système dit endocannabinoidale régule de nombreux processus physiologiques des organismes et notamment aux mammifères. De même que pour l’humain, tant que la teneur en THC est limitée (en France, une concentration supérieure à 0,2% est interdite), soyez sans crainte d’en donner à vos animaux qui se verront octroyer des mêmes effets. A savoir, un antistress naturel et des effets bénéfiques antioxydants et d’antidouleurs. D’ailleurs, de plus en plus, les vétérinaires recommandent l’utilisation du cannabis thérapeutique. Cela afin d’aider les animaux dans les divers troubles qui peuvent les atteindre, douleurs, vomissements…
D’ailleurs, cela vaut aussi précisément pour les hommes qui peuvent éprouver les mêmes maux : douleurs, nausées, fatigue, stress intense, trouble du sommeil… La consommation de CBD sous ses différentes formes. Par inhalation via e liquide pour cigarettes électroniques, gélules ou infusions permet aussi de limiter les troubles. L’assimilation de CBD sous ces différentes formes dépend simplement de vos préférences. Par exemple, pour une pause gourmande, préférez une infusion à base de plante. De même, si votre animal semble apprécier le breuvage, vous pouvez parfaitement lui faire partager. Si cela vous parait plus pratique, quelques gouttes d’huile CBD dans sa nourriture sont l’alternative.
Les animaux peuvent aussi être à divers stress dû à l’environnement. Que ce soit un déménagement, un voyage, la peur d’une séparation ou la perte d’un proche, etc. Les animaux comme nous peuvent être bouleversés par les changements. S’en suivent alors des aboiements plaintifs et répétés. Voir une violence ou de l’agressivité non expliquée, des gémissements intempestifs. Ou encore des comportements de fuites bien trop brutales et sans raison… Il existe de très nombreuses expressions de l’anxiété chez les animaux.
Le CBD permettra ainsi, comme chez l’homme, à l’aider en calmant son organisme. En effet, les effets anxiolytiques naturels lui procureront une sensation de bien être afin de l’aider petit à petit. On utilise notamment le cannabidiol pour les troubles de convulsions qui touchent jusqu’à 5% des chiots. Les convulsions trop violentes peuvent être dangereuses pour le petit chiot qui peut se faire mal physiquement. De même que l’homme, les animaux plus vieux sont sujet aux douleurs articulaires (arthrose) ou bien des soucis de digestion. Le CBD permet de prévenir ces troubles. Enfin, parce qu’il s’agit d’un antioxydant naturel, le CBD limite aussi bien chez l’Homme que chez les animaux la survenue de cancers.
Comme les hommes, la concentration dépend des effets que vous recherchez et du poids de l’individu. Pour un chien ou un chat, il est conseillé de commencer avec une huile dosée à 1% de CBD en y ajoutant une goutte par jour à son alimentation quotidienne. Constatez alors les résultats et augmentez la dose au fur et à mesure si vous pensez que les effets sont insuffisants.
En général, les animaux ont un odorat bien plus développé que le nôtre, préféré une huile ou fleur CBD limitée en terpènes qui est une résine pouvant les révulser gustativement. Vous pouvez ensuite mélanger l’infusion ou l’huile à sa boisson ou à sa nourriture comme les croquettes chiennes dans la gamelle.
Si votre animal prend déjà des médicaments, pensez à prévenir votre vétérinaire pour éviter des conflits ou interactions néfastes.
Interdiction de vente de produits du vapotage aux mineurs de moins de 18 ans
Il est interdit de vendre ou d’offrir gratuitement dans tous commerces ou lieux publics, à des mineurs de moins de dix-huit ans des dispositifs électroniques de vapotage ou des flacons de recharge qui leur sont associés. La personne qui délivre l’un de ces produits, exige du client qu’il établisse la preuve de sa majorité.
Le non respect de cette interdiction est passible de poursuites judiciaires.
CODE DE LA SANTÉ PUBLIQUE, ART. L.3513-5 et R.3515-6